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Darwin, ne confirmait rien, il supposait !


L’évolution est-​elle un fait acquis ?
DESCENDONS-​NOUS d’un animal aux traits simiesques, qui aurait vécu il y a des millions d’années ?
C’est là une question à laquelle, tôt ou tard, pour ainsi dire tout le monde doit répondre, surtout les étudiants qui fréquentent les écoles de notre siècle. En effet, les professeurs et les manuels scolaires enseignent que l’homme descend effectivement des animaux par le processus de l’évolution.
Les Saintes Écriutres Inspirées Bible, en revanche, nous apprend que le Dieu de la Torah créa l’homme et les autres formes de vie directement, et non par voie d’évolution. Or, les preuves du transformisme sont-​elles si nombreuses que l’explication biblique soit maintenant désuète ? L’évolution est-​elle un fait ? L’avenir du genre humain repose-​t-​il sur elle ? Au fond, est-​il vraiment important de savoir si, oui ou non, l’homme est issu des animaux ? Cette question est-​elle vitale pour nous ?

L’ÉVOLUTION ORGANIQUE
L’évolution, tel que ce terme est appliqué aux plantes, aux animaux et à l’homme, serait la transformation d’une espèce vivante en une autre. En date du 23 août 1964, un rédacteur du Houston Post en a donné la définition suivante : “L’évolution, en termes très simples, signifie que la vie a progressé à partir d’organismes unicellulaires jusqu’à sa forme la plus élevée, l’être humain, par le moyen d’une série de changements biologiques se produisant sur des millions d’années⁠1.” L’ouvrage Le fleuve de la vie affirme : “Lorsque les êtres vivants sortirent de la mer pour vivre sur la terre ferme, leurs nageoires se transformèrent en pattes, leurs branchies, en poumons, et leurs écailles, en poils⁠2.” La World Book Encyclopedia (1966) déclare :
La théorie de l’évolution organique implique trois idées principales : 1) Les êtres vivants changent d’une génération à l’autre, produisant des descendants dotés de caractères nouveaux ; 2) ce processus est si ancien qu’il a produit tous les groupes et toutes les espèces actuellement vivants, ainsi que d’autres qui vécurent jadis mais qui aujourd’hui n’existent plus ; 3) les différents êtres vivants sont apparentés les uns aux autres⁠3.”
Le simple fait que des changements se produisent à l’intérieur d’un type primitif de forme vivante ne peut être considéré comme une preuve de l’évolution. Il s’agit là de variations que l’on trouve dans tous les végétaux et les animaux, ainsi que chez l’homme. Par exemple, il existe des chats plus ou moins grands, de formes diverses et de couleurs différentes, mais ce ne sont qu’autant de variétés, et cette diversification ne constitue pas l’évolution organique.
À propos du temps qui aurait été nécessaire au processus de l’évolution, T. Dobzhansky, professeur à l’Université Columbia, New York, déclare dans son livre La génétique et l’origine des espèces (angl.) qu’il “serait, d’après les conjectures, de l’ordre de deux milliards [2 000 000 000] d’années”, et il parle de “causes qui sont toujours opérantes et qui peuvent, par conséquent, faire l’objet d’une étude expérimentale⁠4”.
Certains évolutionnistes, il est vrai, croient qu’un Créateur a déclenché le mécanisme de l’évolution, mais de nos jours la plupart d’entre eux enseignent que la vie surgit de la matière inanimée sans aucune intervention divine. Leurs sentiments ont été exprimés en ces termes par le grand évolutionniste sir Julian Huxley, à l’occasion du centenaire du darwinisme célébré à Chicago en 1959 : “L’évolutionnisme ne laisse aucune place au surnaturel. La terre et ses habitants n’ont pas été créés, ils se sont développés par évolution⁠5.”

ACCEPTÉE COMME UN FAIT
Lors du même congrès, Huxley a déclaré devant les 2 500 délégués : “Nous acceptons tous le fait de l’évolution. (...) L’évolution de la vie n’est plus une théorie. C’est un fait. Elle constitue la base de toute notre pensée⁠6.” Nous retrouvons cette assertion dans l’édition de 1963 du livre Votre manuel de biologie (angl.) : “Tous les biologistes dignes d’estime reconnaissent que l’évolution de la vie sur la terre est un fait acquis⁠7.”
En outre, la majorité des enseignants acceptent l’évolutionnisme. Voici ce qu’affirme le recteur d’une université américaine :
“Il faudrait avoir des préjugés indéracinables pour refuser de se rendre à l’évidence, et quiconque examine les preuves de l’évolution doit reconnaître que celle-ci est un fait historique⁠8.”
Nombre de chefs religieux partagent également ce point de vue. D’après le Milwaukee Journal du 5 mars 1966, “le curé de l’église Saint-Jacques [catholique] (...) a fait une déclaration affirmative en faveur de l’évolution. ‘Aucun doute, a-​t-​il dit, ne saurait exister quant au fait de l’évolution.’” Le compte rendu déclarait que ce prêtre “a souligné le mot ‘fait’⁠9”.
Que l’évolution soit généralement acceptée, cela ressort du récit des expériences qu’un cosmonaute avait effectuées à l’extérieur de son véhicule spatial. Dans un éditorial, le New York Times du 14 novembre 1966 fit ce commentaire : “Tous les réflexes et les instincts incorporés dans l’esprit et le corps humains par suite de millions d’années d’évolution organique terrestre furent soumis à une rude épreuve, étant exposés au milieu étrange et différent qu’est l’espace⁠10.”
Ainsi, à l’heure actuelle, l’immense majorité de ceux qui exercent une influence sur les pensées des gens, dans les pays communistes et non communistes, acceptent l’évolution comme un fait. Or, selon le Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française de Paul Robert, un fait est “ce qui est arrivé”, “ce qui existe réellement⁠11”.
S’AGIT-​IL D’UN FAIT ?
Il suffit cependant d’analyser un peu plus profondément les déclarations de ceux qui considèrent que l’évolution est un fait acquis pour se rendre compte d’une situation étonnante, ignorée vraisemblablement par la plupart des hommes, et qui est presque sans pareille dans les autres branches de la science.
Voilà plus de cent ans que l’évolutionniste Charles Darwin écrivit, au chapitre VI de son livre L’origine des espèces (1859) : “Une foule d’objections se sont sans doute présentées à l’esprit du lecteur avant qu’il en soit arrivé à cette partie de mon ouvrage. Les unes sont si graves, qu’aujourd’hui encore je ne peux y réfléchir sans me sentir quelque peu ébranlé⁠12.” Peut-​on qualifier l’évolution de “fait” alors que Darwin lui-​même était “ébranlé” par les difficultés rencontrées ?
Plus d’un siècle de recherches fiévreuses menées depuis l’époque de Darwin ont-​elles confirmé le “fait” de l’évolution ? L’ouvrage Science Year (1966) avoue ce qui suit : “Malgré ses succès, l’archéologie en est toujours pratiquement au début de la tâche immense qu’est la reconstitution de l’histoire de l’homme⁠13.” Un tel “début” ne peut certes être considéré comme un “fait” avéré.
Ce paradoxe ressort clairement dans l’ouvrage intitulé La base biologique de la liberté humaine (angl.), du grand évolutionniste Dobzhansky. D’abord il affirme : “L’évolution, en tant que fait historique, fut prouvée, sans qu’on pût raisonnablement en douter, pas plus tard que dans les dernières décades du dix-neuvième siècle.” Pourtant, deux pages plus loin, l’auteur admet : “Il est hors de doute que les aspects historiques et déterminants du processus évolutif sont loin d’être connus complètement. (...) On ne peut qu’entrevoir obscurément les causes qui ont déterminé le développement de l’espèce humaine⁠14.”
D’une part, on affirme que l’évolution est un fait, d’autre part on reconnaît que les aspects déterminants de ce processus sont “loin d’être connus complètement” et qu’“on ne peut qu’entrevoir obscurément” ses causes.
Cette contradiction n’est pas exceptionnelle. L’Encyclopédie britannique nous dit tout d’abord : “Nous n’avons pas le moindre doute en ce qui concerne le fait de l’évolution. (...) À présent, les preuves sont irrécusables.” Puis, quelques pages plus loin, l’illustre ouvrage qualifie ces preuves de “très imparfaites et souvent entrecoupées de lacunes”, et il ajoute : “À propos des phénomènes vitaux qui ont déterminé ces changements, nous ne savons toujours rien⁠15.”
Dans sa récente biographie intitulée Charles Darwin (angl.), le célèbre transformiste sir Gavin de Beer n’a pas hésité à écrire : “[Darwin] annonça qu’un jour les preuves seraient trouvées, et ce jour est arrivé, car la série de fossiles précitée fournit la preuve décisive que l’homme est le produit de l’évolution⁠16.” Il n’empêche qu’en 1964, un autre grand évolutionniste, W. Le Gros Clark, a écrit ces lignes dans son livre Preuves paléontologiques de l’évolution humaine (angl.) :
“Les chances de trouver les restes fossiles de nos ancêtres véritables, ou même des spécimens du groupe géographique local dont sont issus nos ancêtres véritables, sont d’une improbabilité telle qu’il est inutile de s’attarder sur cette éventualité. (...)
“L’interprétation des preuves paléontologiques de l’évolution des hominidés que nous avons exposée dans les chapitres précédents n’est que provisoire. Il ne peut guère en être autrement, compte tenu du caractère incomplet de ces preuves⁠17.”
Dans sa critique du livre La base de l’évolution humaine (angl.), la revue Science du 22 janvier 1965 déclarait : “Le lecteur (...) sera peut-être stupéfait de constater que tant de travail a répondu à si peu de questions⁠18.” Dans la World Book Encyclopedia (1966), on peut lire ce qui suit : “Nul ne devrait se leurrer au point d’affirmer que l’évolution est un phénomène qu’on comprend parfaitement⁠19.” De même, en 1965, le périodique Science News Letter a écrit : “Les hommes de science se livrent une lutte pour déterminer le mécanisme de l’évolution de l’homme, l’époque de son apparition et à quoi il ressemblait⁠20.”
Peut-​on appliquer le mot “fait”, qui signifie “ce qui est arrivé”, “ce qui existe réellement”, à un processus dont on ne sait ni comment, ni quand, ni , ni pourquoi il s’est produit ? Si l’on vous disait qu’un gratte-ciel s’est développé par ses propres moyens à partir d’une seule brique abandonnée sur un terrain vague, mais qu’on ignore comment, quand et pourquoi il s’est érigé tout seul, ou à quoi il ressemblait pendant son évolution, celle-ci serait-​elle pour vous un fait, ou bien une assertion gratuite ?
Qu’on ne puisse qualifier l’évolution de “vérité scientifique”, l’un de ses partisans, Clark, l’admet en ces termes : “Quelle est l’origine absolue de l’homme ? (...) Malheureusement, toutes les réponses que peuvent actuellement recevoir ces questions reposent sur des preuves indirectes et ainsi, en grande partie, sur des conjectures⁠21.
Cette insuffisance de preuves est également reconnue par un ancien président de l’Association américaine pour l’avancement de la science. Dans un article en faveur de l’évolution, publié dans la revue Science, il a écrit :
“Venez avec moi, si vous le voulez, faire une excursion hypothétique dans la préhistoire. Imaginons l’époque où l’espèce sapiens sortit du genre Homo (...), parcourons rapidement les millénaires au sujet desquels les renseignements actuels dépendent en grande partie de la conjecture et de l’interprétation, jusqu’à l’époque des premiers documents nous permettant de glaner quelques faits⁠22.” [C’est nous qui soulignons].
Voici des millénaires que commença l’époque des premiers documents. Or, on avoue que le processus évolutif qui est censé l’avoir précédée relève de la conjecture, de l’interprétation, de la spéculation. C’est en somme, une pyramide d’hypothèses. Quant à l’ouvrage célèbre de Darwin, L’origine des espèces, L. M. Davies, savant anglais, a fait cette observation :
“On a calculé que, rien que dans L’origine des espèces de Darwin, on trouve plus de 800 phrases dubitatives (telles que — ‘nous pouvons peut-être en conclure que’, — ‘il se pourrait que’, etc.)⁠23.”
La personne sincère qui cherche à comprendre ne peut manquer de trouver cette situation paradoxale. D’une part les évolutionnistes affirment catégoriquement que l’évolution est un fait, d’autre part ils avouent que toutes leurs conclusions importantes sont hypothétiques !
Cette équivoque a incité T. N. Tahmisian, physiologiste rattaché à la Commission américaine de l’énergie atomique, à se prononcer en ces termes : “Les hommes de science qui enseignent que l’évolution est un fait scientifique sont des aigrefins consommés, et l’histoire qu’ils racontent est peut-être la plus grande supercherie jamais inventée. Il n’y a pas un iota de fait dans l’explication qu’ils nous donnent de l’évolution.” Il a qualifié cette théorie de “fatras embrouillé de devinettes et de jongleries de chiffres⁠24”. Un autre savant, J. W. Klotz, chef de la section des sciences d’une université, a affirmé en 1965 que “la croyance à l’évolution exige toujours beaucoup de foi⁠25”.
Afin de mieux comprendre d’où vient cette situation contradictoire, il sera utile de faire l’historique de la théorie évolutionniste. Examinons les questions suivantes : À quand remontent les idées modernes de l’évolution ? Comment se sont-​elles développées ? Où en est cette théorie à l’heure actuelle ? Pourquoi existe-​t-​il tant de confusion et de contradictions parmi les évolutionnistes ? Enfin, si nous appliquons la méthode vraiment scientifique consistant à observer d’abord tous les faits puis à en tirer les conclusions, que trouverons-​nous ?

Comentarios

  1. Amour-Jah, Amour-Jah Dit-moi, savent-ils ou tu te trouve ?

    Love-Jah, Love-Jah Tell me, do they know where you are?

    Amor-Jah, Amor-Jah Dime, ¿saben dónde estás?



    raisonnementsspirituels.blogspot.com
    brisonslemythe.canalblog.com
    torahjahallah.canalblog.com
    jahsta17.blogspot.com pour mieux comprendre et vous défendre des argumentations infondés des inquisiteurs, fachistes et Babyloniens du 21ieme siècle.
    abrahamistas17.blogspot.com Para comprender mejor y defenderte de las argumentaciones infundadas de los inquisitores ,fascistas y Babylonios del siglo 21.
    elcaminocorrectoalavida17.blogspot.com
    thecorrectwaytothelife17.blogspot.com
    To better understand and respond more efficiently these allegations as baseless of the inquisitors, fachistes and babyloners of the 21 century.

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