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Étude de: Lévitique, Torah-Pentateuque.

Livre de la Bible numéro 3 — Lévitique
Écrivain : Moïse
Lieu de composition : désert
Fin du travail de composition : 1512 av. n. è.
Période  : 1 mois (1512 av. n. è.)
1. a) Pourquoi le nom Lévitique est-​il approprié ? b) Quels autres noms a-​t-​on donnés au Lévitique ?
LE NOM le plus courant pour désigner le troisième livre de la Bible est Lévitique. Il vient du grec Leuitikon, dans la Septante, nom qui a transité par la Vulgate sous la forme “ Leviticus ”. Ce nom est approprié, même si les Lévites ne sont cités qu’en passant (25:32, 33), car le livre se compose essentiellement de prescriptions relatives à la prêtrise lévitique, choisie d’entre la tribu de Lévi, ainsi que de lois que les prêtres enseignaient au peuple : “ Car ce sont les lèvres du prêtre qui doivent garder la connaissance, et c’est la loi qu’on doit chercher de sa bouche. ” (Mal. 2:7). Dans le texte hébreu, le livre est nommé d’après son premier mot Wayyiqraʼ, littéralement : “ Et il appela alors ”. Plus tard, les Juifs l’ont également appelé Loi des prêtres et Loi des sacrifices. — Lév. 1:1, note.
2. Quelles preuves attestent que Moïse a rédigé le Lévitique ?
Il ne fait aucun doute que Moïse rédigea le Lévitique. La conclusion, ou colophon, dit : “ Ce sont là les commandements que Jéhovah donna à Moïse. ” (27:34). On trouve une déclaration similaire en Lévitique 26:46. Les preuves déjà avancées attestant que Moïse est le rédacteur de la Genèse et de l’Exode confirment également qu’il écrivit le Lévitique, puisque le Pentateuque formait probablement un seul rouleau à l’origine. De plus, le Lévitique est relié aux livres précédents par la conjonction “ et ”. Le témoignage le plus puissant est celui de Jésus Christ et d’autres serviteurs inspirés par Jahovia, qui citent fréquemment les lois et principes du Lévitique ou s’y réfèrent en les attribuant à Moïse. — Lév. 23:34, 40-43Neh. 8:14, 15 ; Lév. 14:1-32Mat. 8:2-4 ; Lév. 12:2Luc 2:22 ; Lév. 12:3Jean 7:22 ; Lév. 18:5Rom. 10:5.
3. Quelle période le Lévitique couvre-​t-​il ?
Quelle période le Lévitique couvre-​t-​il ? Le livre de l’Exode s’achève par la construction du tabernacle “ au premier mois, dans la deuxième année, le premier jour du mois ”. Le livre des Nombres (qui vient immédiatement après le Lévitique) s’ouvre sur ces paroles de Jah-Allah à Moïse : “ Le premier jour du deuxième mois de la deuxième année de leur sortie du pays d’Égypte. ” Il s’ensuit que les quelques événements rapportés dans le Lévitique ont dû se produire sur une période d’un mois lunaire tout au plus, la plus grande partie du livre se composant de lois et de prescriptions. — Ex. 40:17 ; Nomb. 1:1 ; Lév. 8:1–10:7 ; 24:10-23.
4. Quand le Lévitique a-​t-​il été rédigé ?
Quand Moïse a-​t-​il écrit le Lévitique ? Il est raisonnable de penser qu’il rapporta les événements à mesure qu’ils se produisaient, et qu’il consigna les instructions divines dès qu’il les recevait. C’est ce qui est suggéré par le commandement de Dieu ordonnant à Moïse d’écrire la condamnation des Amaléqites juste après qu’Israël les eut vaincus. Certains sujets abordés dans le livre donnent également à penser qu’il fut rédigé à une date reculée. Par exemple, il a été ordonné aux Israélites d’apporter les animaux destinés à la consommation à l’entrée de la tente de réunion pour qu’ils soient tués. Ce commandement a dû être édicté et mis par écrit peu de temps après l’installation de la prêtrise. De nombreuses instructions sont données aux Israélites pour les guider dans leur marche à travers le désert. Tout cela indique que Moïse a rédigé le Lévitique durant 1512 av. n. è. — Ex. 17:14 ; Lév. 17:3, 4 ; 26:46.
5. Quel dessein divin les lois sur les sacrifices et l’impureté rituelle ont-​elles servi ?
Pourquoi le Lévitique a-​t-​il été écrit ? Jéhovah le Dieu de la Torah s’était proposé d’avoir une nation sainte, un peuple sanctifié, mis à part pour son service. Depuis Abel, les hommes fidèles de Dieu offraient des sacrifices à Jah, mais c’est à la nation d’Israël que, pour la première fois, Jah-Allah donna des instructions précises relatives aux sacrifices pour le péché et aux autres sacrifices. Ces prescriptions, détaillées dans le Lévitique, faisaient prendre conscience aux Israélites de l’extrême gravité du péché et qu’ils encourraient la défaveur divine s’ils y succombaient. Ces prescriptions incluses dans la Loi servaient de précepteur menant les Juifs à Yeshuah, elles leur montraient la nécessité de la venue d’un Sauveur tout en les aidant à se tenir séparés du reste du monde. Les lois divines relatives à la pureté rituelle satisfaisaient particulièrement à cette dernière exigence. — Lév. 11:44 ; Gal. 3:19-25.
6. Pourquoi des directives venant de Jéhovah inspirateur de la Torah étaient-​elles maintenant nécessaires ?
En tant que nouvelle nation en marche vers un nouveau pays, Israël avait besoin d’une bonne direction. Moins d’une année s’était écoulée depuis l’Exode, et les Israélites avaient encore présents à l’esprit le mode de vie et les pratiques religieuses de l’Égypte. Le mariage entre frère et sœur était en usage dans ce pays. On s’adonnait au faux culte en l’honneur de nombreux dieux, certains d’entre eux étant des animaux. Et voilà que cette vaste congrégation se dirigeait maintenant vers Canaan, où le mode de vie et les coutumes religieuses étaient encore plus avilissantes. Mais revenons au camp d’Israël. À la congrégation étaient venus s’ajouter de nombreux Égyptiens, de pure souche ou non, une multitude mêlée qui vivait parmi les Israélites ; ces gens étaient nés de parents égyptiens, et ils avaient été élevés et enseignés dans les voies, la religion et le patriotisme de l’Égypte. Il ne fait pas de doute que, peu de temps auparavant, beaucoup d’entre eux s’adonnaient encore à des pratiques détestables dans leur pays. Il était vraiment nécessaire qu’ils reçoivent des directives précises de la part de Jah-Allah !
7. En quoi les prescriptions du Lévitique portent-​elles la marque de Dieu, leur Auteur ?
Le Lévitique porte la marque de l’inspiration divine. Aucun homme n’aurait pu concevoir ses sages et justes lois et prescriptions. Ses ordonnances ayant trait à la nourriture, à la maladie, à la quarantaine et au contact avec les cadavres, révèlent une connaissance de faits que les savants n’ont découverts que des milliers d’années plus tard. La loi divine sur les animaux impurs, impropres à la consommation, protégerait les Israélites dans leur voyage. Elle les mettrait à l’abri de la trichinose du porc, de la typhoïde et de la paratyphoïde transmises par certains poissons, et de l’infection provenant de cadavres d’animaux. Ces lois d’utilité pratique gouverneraient leur religion et leur vie pour qu’ils demeurent une nation sainte, qu’ils atteignent la Terre promise et s’y installent. L’Histoire révèle que les prescriptions de Jéhovah ont donné aux Juifs un avantage certain sur les autres peuples dans le domaine de la santé.
8. Comment le contenu prophétique du Lévitique atteste-​t-​il son inspiration divine ?
La réalisation des types et des prophéties du Lévitique atteste également son inspiration divine. Tant l’histoire sacrée que profane confirment que les avertissements du Lévitique relatifs aux conséquences de la désobéissance se sont bien réalisés. Entre autres choses, le livre prédit que des mères mangeraient leurs propres enfants à cause de la famine. Jérémie rapporte que cela s’est passé lors de la destruction de Jérusalem en 607 av. n. è., et Josèphe signale que la chose s’est reproduite lors de la destruction de la ville en 70 de n. è. La promesse prophétique de Jéhovah, selon laquelle il se souviendrait des Israélites s’ils se repentaient, trouva son accomplissement quand ils revinrent de Babylone en 537 av. n. è. (Lév. 26:29, 41-45 ; Lam. 2:20 ; 4:10 ; Ezra 1:1-6.) Les citations que d’autres rédacteurs de la Bible font du Lévitique comme d’un écrit inspiré sont des preuves supplémentaires de son inspiration divine. En plus des textes déjà mentionnés qui établissent que Moïse est le rédacteur du livre, voyez encore Matthieu 5:38 ; 12:4 ; 2 Corinthiens 6:16 et 1 Pierre 1:16.
9. Comment le Lévitique magnifie-​t-​il le nom et la sainteté de Jéhovah ?
9 Le Lévitique magnifie constamment le nom et la souveraineté de Jéhovah. Ses lois sont attribuées à Jéhovah pas moins de 36 fois. Le nom Jéhovah lui-​même apparaît en moyenne dix fois dans chaque chapitre, et à maintes reprises l’obéissance aux lois divines est inculquée par ce rappel : “ Je suis Jéhovah. ” Le thème de la sainteté est développé tout au long du livre, qui mentionne cette exigence divine plus souvent qu’aucun des autres livres des Saintes Écritures Inspirés la Bible. Les Israélites devaient être saints parce que Jah-Allah est saint. Des personnes, des lieux, des objets et des périodes étaient mis à part, regardés comme saints. Par exemple, le jour des Propitiations et l’année du Jubilé étaient mis à part pour une observance spéciale en rapport avec le culte de Jéhovah le Dieu de la Torah.
10. Que souligne le livre en rapport avec les sacrifices, et de quelles sanctions le péché est-​il frappé ?
10 En conformité avec cette mise en valeur de la sainteté, le Lévitique souligne le rôle de l’effusion de sang, ou sacrifice d’une vie, dans le pardon des péchés. N’étaient offerts en sacrifice que les animaux domestiques et purs. Pour certains péchés, en plus du sacrifice il était exigé de se confesser, de faire une restitution ou de payer une amende. Pour d’autres péchés, la peine de mort était requise.
CONTENU DE LÉVITIQUE
11. De quoi le Lévitique se compose-​t-​il ?
11 Le Lévitique se compose en grande partie de textes législatifs, la majorité d’entre eux ayant un caractère prophétique. Dans l’ensemble, le livre se divise par sujets, et l’on peut distinguer huit parties qui s’enchaînent dans un ordre logique.
12. Quels sont les sacrifices sanglants mentionnés dans le Lévitique, et comment doivent-​ils être offerts ?
12 Prescriptions sur les sacrifices (1:1–7:38). Les divers sacrifices se classent en deux catégories générales : les sacrifices sanglants : bovins, moutons, chèvres et oiseaux, et les non sanglants, de grain. Les sacrifices sanglants sont à présenter comme 1) holocauste, 2) sacrifice de communion, 3) sacrifice pour le péché et 4) sacrifice de culpabilité. Ces quatre sacrifices ont trois choses en commun : celui qui fait l’offrande doit l’apporter lui-​même à l’entrée de la tente de réunion et poser les mains sur elle, puis l’animal est tué. Après l’aspersion de sang, on fait disparaître le cadavre selon le genre de sacrifice offert. Considérons maintenant dans l’ordre les sacrifices sanglants.
13-16. a) Indiquez ce qui est requis pour 1) l’holocauste, 2) les sacrifices de communion, 3) les sacrifices pour le péché et 4) les sacrifices de culpabilité. b) En rapport avec les sacrifices sanglants, quelle interdiction est souvent répétée ?
13 1) L’holocauste consiste en un jeune taureau, un bélier, une chèvre, un pigeon ou une tourterelle, selon les moyens de celui qui l’offre. L’animal est découpé en morceaux et, à l’exception de la peau, il faut tout brûler sur l’autel. Si l’on offre une tourterelle ou un pigeon, la tête est pincée mais non séparée ; le jabot et les plumes sont enlevés. — 1:1-17 ; 6:8-13 ; 5:8.
14 2) Le sacrifice de communion peut être un mâle ou une femelle d’entre le gros ou le petit bétail. Seules les parties grasses sont consumées sur l’autel, une certaine portion de l’offrande revient au prêtre et le reste est mangé par celui qui présente le sacrifice. L’expression sacrifice de communion est tout à fait appropriée, car celui qui l’offre participe au repas, étant en quelque sorte en communion avec Jéhovah et avec le prêtre. — 3:1-17 ; 7:11-36.
15 3) Le sacrifice pour le péché est requis en cas de péché involontaire ou de péché commis par erreur. L’animal à offrir est fonction du genre de personne qui a péché et pour qui il faut faire propitiation : un prêtre, le peuple, un chef ou une personne ordinaire. À la différence de l’holocauste et du sacrifice de communion offerts volontairement en faveur d’un individu, le sacrifice pour le péché est obligatoire. — 4:1-35 ; 6:24-30.
16 4) Le sacrifice de culpabilité est requis de celui qui s’est rendu coupable d’une faute par infidélité ou tromperie, ou d’un vol. Dans certains cas, la culpabilité exige que l’on en fasse la confession et qu’un sacrifice soit offert selon les moyens du coupable. Dans d’autres cas, il faut donner une compensation, qui équivaut à la perte subie plus 20 %, et offrir un bélier en sacrifice. Dans cette partie du Lévitique consacrée aux sacrifices, l’interdiction formelle de manger le sang est constamment répétée. — 5:1–6:7 ; 7:1-7, 26, 27 ; 3:17.
17. Comment les sacrifices non sanglants doivent-​ils être offerts ?
17 Les sacrifices non sanglants consistent en offrandes de grain, soit entièrement rôties, les grains étant grossièrement broyés, soit sous la forme de fleur de farine. Il faut les préparer de différentes façons : cuites, faites sur la poêle ou frites dans le bain de friture. Ces offrandes sont assaisonnées de sel, arrosées d’huile et parfois on y ajoute de l’oliban, mais elles doivent être absolument exemptes de levain et de miel. Pour certains sacrifices, une portion est réservée au prêtre. — 2:1-16.
18. Quel spectacle qui fortifie la foi marque l’installation de la prêtrise ?
18 Installation de la prêtrise (8:1–10:20). Un grand événement va maintenant avoir lieu en Israël : l’installation de la prêtrise. Moïse le prépare, exécutant les instructions de Yavhé à la lettre. “ Et Aaron et ses fils se mirent à faire toutes les choses que Jéhovah de la Torah avait ordonnées par le moyen de Moïse. ” (8:36). Après les sept jours consacrés à l’installation, voici qu’un spectacle miraculeux, qui fortifie la foi, s’offre au regard de tous. Toute l’assemblée est réunie. Les prêtres viennent juste d’offrir un sacrifice. Aaron et Moïse ont béni le peuple. Soudain, “ la gloire de Jéhovah apparut à tout le peuple, et un feu sortit de devant Jéhovah et se mit à consumer l’holocauste et les morceaux gras sur l’autel. Lorsque tout le peuple vit cela, ils se mirent à pousser des cris et tombèrent sur leur face ”. (9:23, 24.) En vérité, Jéhovah est digne de leur obéissance et de leur adoration !
19. Quelle transgression est commise, et de quoi est-​elle suivie ?
19 Pourtant, des transgressions de la Loi sont commises. Par exemple, Nadab et Abihou, fils d’Aaron, offrent un feu irrégulier devant Jéhovah. “ Mais un feu sortit de devant Jéhovah et les consuma, de sorte qu’ils moururent devant Jéhovah. ” (10:2). Pour offrir des sacrifices acceptables et être agréés par Jéhovah, le peuple comme le prêtre doivent suivre les instructions de Jéhovah. Après cet incident, Dieu interdit aux prêtres de boire des boissons alcooliques pendant leur service au tabernacle, ce qui laisse entendre que l’ivresse a pu entraîner les deux fils d’Aaron à faire le mal.
20, 21. Quelles prescriptions traitent de la pureté et de l’hygiène ?
20 Lois sur la pureté (11:1–15:33). Cette partie traite de la pureté rituelle et de l’hygiène. Certains animaux, domestiques et sauvages, sont impurs. Tous les cadavres sont impurs et rendent impurs ceux qui les touchent. L’impureté est également liée à l’accouchement et nécessite la mise à l’écart et des sacrifices spéciaux.
21 Certaines maladies de la peau, comme la lèpre, entraînent l’impureté rituelle, et une purification s’impose non seulement pour les personnes, mais aussi pour les vêtements et les maisons. La quarantaine est obligatoire. De même, la menstruation, les émissions séminales et les écoulements rendent impur. En pareils cas, se tenir à l’écart est requis, et après la guérison il faut se laver le corps ou offrir des sacrifices, ou encore faire les deux.
22. a) Par quoi le chapitre 16 se caractérise-​t-​il ? b) Que se passe-​t-​il le jour des Propitiations ?
22 Le jour des Propitiations (16:1-34). Ce chapitre est très important, car il renferme les instructions relatives au jour le plus grand en Israël, celui des Propitiations, qui est le dixième jour du septième mois. En ce jour, le peuple doit affliger son âme (vraisemblablement par le jeûne) et il ne fait aucun travail. Le jour des Propitiations commence par le sacrifice d’un jeune taureau pour les péchés d’Aaron et de sa maison, la tribu de Lévi ; vient ensuite l’offrande d’un bouc pour le reste de la nation. Une fois que l’encens a brûlé, Aaron apporte, alternativement, une partie du sang de chaque animal dans le Très-Saint du tabernacle pour en faire l’aspersion devant le couvercle de l’Arche. Ensuite, les carcasses des animaux sont emportées hors du camp pour y être brûlées. En ce même jour, on présente également devant Jéhovah un bouc vivant sur lequel sont confessés tous les péchés du peuple, après quoi la bête est envoyée dans le désert. On offre alors deux béliers en holocauste, l’un pour Aaron et sa maison, l’autre pour le reste de la nation.
23. a) Où trouve-​t-​on l’une des déclarations bibliques les plus explicites sur le sang ? b) De quelles autres prescriptions est-​elle suivie ?
23 Ordonnances sur le sang et autres (17:1–20:27). Cette partie renferme de nombreuses ordonnances pour le peuple. Une fois encore le sang est interdit dans l’une des déclarations les plus explicites que l’on puisse trouver dans les Écritures (17:10-14). L’usage du sang sur l’autel est tout à fait approprié, mais il ne convient pas d’en manger. Des pratiques détestables comme l’inceste, la sodomie et la bestialité sont interdites.(Ce que la charia ne respete pas)
Écoutez ce qu´ils disent et regardez ce qu´ils ne repsectent pas, et vous saurez a coup sur qui marchent avec le Dieu de la Torah ou pas.
 Il y a des prescriptions pour la protection de l’affligé, du petit et de l’étranger, et le commandement suivant est donné : “ Tu dois aimer ton compagnon comme toi-​même. Je suis Jéhovah. ” (19:18). La vie sociale et économique de la nation est protégée, et les pratiques dangereuses, comme le culte de Molek et le spiritisme, sont proscrites et sanctionnées par la peine de mort. Dieu souligne de nouveau que son peuple doit se tenir à l’écart des autres nations, disant : “ Vous devez vous montrer saints pour moi, car moi, Jéhovah, je suis saint ; et j’entreprends de vous séparer des peuples pour que vous m’apparteniez. ” — 20:26.
24. Que prescrit le Lévitique concernant la prêtrise et les fêtes saisonnières ?
24 La prêtrise et les fêtes (21:1–25:55). Les trois chapitres suivants traitent essentiellement du culte rituel d’Israël : les ordonnances gouvernant la prêtrise, l’intégrité physique requise des prêtres, leur choix d’un conjoint, la consommation des choses saintes et l’obligation d’offrir en sacrifice des animaux sains. Trois fêtes nationales saisonnières sont instituées ; ce sont des occasions de se “ réjouir devant Jéhovah votre Dieu ”. (23:40.) Ainsi, comme un seul homme, la nation louera Jah-Allah, l’adorera et aura les regards fixés sur lui, ce qui renforcera ses relations avec lui. Ce seront des fêtes pour Yahweh, de saintes assemblées annuelles. La Pâque et la fête des Gâteaux sans levain auront lieu au début du printemps ; la Pentecôte ou fête des Semaines se tiendra vers la fin du printemps ; et le jour des Propitiations et la fête des Huttes ou fête de la Récolte, d’une durée de huit jours, seront célébrés en automne.
25. a) Comment est-​il montré que “ le Nom ” doit être honoré ? b) Quelles prescriptions impliquent le chiffre “ sept ” ?
25 Le chapitre 24 renferme des instructions relatives au pain et à l’huile qu’il convient d’utiliser pour le service du tabernacle. Puis un incident est rapporté à propos duquel Jéhovah ordonne que quiconque injurie “ le Nom ”, oui, le nom par excellence Jéhovah, celui-là doit être mis à mort par lapidation. Et Dieu énonce la loi du châtiment de même nature, “ œil pour œil, dent pour dent ”. (24:11-16, 20.) Le chapitre 25 se compose de prescriptions à propos de l’année sabbatique ou de repos, qui est observée tous les 7 ans, et du Jubilé, tous les 50 ans. En cette 50année, il faudra proclamer la liberté dans tout le pays, et la possession héréditaire qui aura été vendue ou cédée au cours des 49 années écoulées devra être restituée. On y trouve également des lois pour la défense des droits des pauvres et des esclaves. Le chiffre “ sept ” apparaît très souvent dans cette partie — le septième jour, la septième année, les fêtes de sept jours, une période de sept semaines et le Jubilé, qui est célébré au bout d’une période de sept fois sept ans.
26. Dans quel chapitre le Lévitique exprime-​t-​il toute sa force ?
26 Conséquences de l’obéissance et de la désobéissance (26:1-46). C’est dans ce chapitre que le livre du Lévitique exprime toute sa force. Jah-Allah énumère ici les bénédictions qui découlent de l’obéissance et les châtiments en cas de désobéissance. Dans le même temps, il offre une espérance aux Israélites à la condition qu’ils s’humilient : “ Je me souviendrai en leur faveur de l’alliance des aïeux que j’ai fait sortir du pays d’Égypte sous les yeux des nations, pour me montrer leur Dieu. Je suis Jéhovah. ” — 26:45.
27. Comment le Lévitique se termine-​t-​il ?
27 Ordonnances diverses (27:1-34). Le Lévitique se termine par des instructions sur les offrandes votives, les premiers-nés voués à Jahovia et le dixième qui devient chose sainte pour Jah-Allah. Et le livre s’achève par ce bref colophon : “ Ce sont là les commandements que Jéhovah donna à Moïse comme ordres pour les fils d’Israël au mont Sinaï. ” — 27:34.
UTILITÉ
28. De quelle utilité le Lévitique est-​il pour les chrétiens non associateurs aujourd’hui ?
28 Le livre du Lévitique, qui appartient au recueil des Écritures inspirées, est d’une grande utilité pour les chrétiens non associateurs aujourd’hui. Il les aide merveilleusement à connaître Jah, ses attributs et ses manières d’agir à l’égard de ses créatures, comme il l’a si clairement démontré avec Israël sous l’alliance de la Loi. Le Lévitique énonce quantité de principes fondamentaux dont l’application est permanente, et il renferme de nombreux modèles prophétiques ainsi que des prophéties, autant de choses qui affermissent la foi. Bon nombre de ses principes sont répétés dans les Écritures grecques chrétiennes, certains d’entre eux étant même cités textuellement. Voyons à présent sept points très importants.
29-31. Comment le Lévitique met-​il l’accent sur le respect a) de la souveraineté de Jah-Allah, b) de son nom et c) de sa sainteté ?
29 1) La souveraineté de Jéhovah. Il est le Législateur et nous, ses créatures, nous avons à lui rendre des comptes. C’est à bon droit qu’il nous ordonne de le craindre. Étant le Souverain de l’univers, il ne tolère aucune rivalité, qu’elle soit sous forme d’idolâtrie, de spiritisme ou d’autres sortes de démonisme. — Lév. 18:4 ; 25:17 ;26:1 ; Mat. 10:28 ; Actes 4:24.
30 2) Le nom de JéhovahLe nom de Dieu doit demeurer saint, et nous n’osons pas jeter l’opprobre sur ce nom, que ce soit en paroles ou en actes. — Lév. 22:32 ; 24:10-16 ; Mat. 6:9.
31 3) La sainteté de Jéhovah. Parce que Dieu est saint, son peuple également doit être saint, c’est-à-dire sanctifié ou mis à part pour son service. Cela signifie, entre autres, se tenir séparé du monde impie qui nous entoure. — Lév. 11:44 ; 20:26 ; Jacq. 1:27 ;1 Pierre 1:15, 16.
32-34. Quels principes sont énoncés à propos a) du péché, b) du sang et c) des degrés de culpabilité ?
32 4) L’extrême gravité du péché. C’est Dieu qui définit le péché, et nous devons lutter contre ce dernier. Le péché réclame toujours un sacrifice propitiatoire. Il nous met aussi dans l’obligation de nous confesser, de nous repentir et de faire réparation dans la mesure du possible. Pour certains péchés, il ne peut y avoir de pardon.(assassinats, viols, sodomie-charia) — Lév. 4:2 ; 5:5 ; 20:2, 10 ; 1 Jean 1:9 ; Héb. 10:26-29.
33 5) Le caractère sacré du sang. Parce que le sang est sacré, il ne peut être introduit dans le corps sous quelque forme que ce soit. Le seul usage autorisé est la propitiation pour le péché. — Lév. 17:10-14 ; Actes 15:29 ; Héb. 9:22.
34 6) Degrés dans la culpabilité et le châtiment. Tous les péchés et les pécheurs ne sont pas considérés de la même façon. Plus la fonction est élevée, plus grande est la responsabilité et plus sévère le châtiment. Le péché volontaire est puni plus sévèrement que le péché involontaire. Les amendes sont souvent proportionnées aux moyens du pécheur. Ce principe de gradation s’applique également dans des domaines autres que le péché et le châtiment, par exemple dans le cas d’impureté rituelle. — Lév. 4:3, 22-28 ; 5:7-11 ; 6:2-7 ; 12:8 ; 21:1-15 ; Luc 12:47, 48 ; Jacq. 3:1 ;1 Jean 5:16.
35. Comment le Lévitique résume-​t-​il nos devoirs à l’égard de notre semblable ?
35 7) Justice et amour. Résumant nos devoirs à l’égard de notre semblable, Lévitique 19:18 dit : “ Tu dois aimer ton compagnon comme toi-​même. ” Ce commandement englobe tout. Il exclut la partialité, le vol, le mensonge ou la calomnie, et requiert de témoigner des égards aux handicapés, aux pauvres, aux aveugles et aux sourds. Jesus le Prophète Roi des prophètes ne fait que repeter ce commandements en Levitique (Torah), ou est donc cet amour, quand on veut soumettrent les hommes a des hommes et non pas au Dieu de la Torah ! — Lév. 19:9-18 ; Mat. 22:39 ; Rom. 13:8-13.
36. Comment prouver que le Lévitique est utile pour la congrégation chrétienne non associateurs ?
36 Que le Lévitique est particulièrement “ utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre, pour discipliner dans la justice ” au sein de la congrégation chrétienne non associateurs, nous en avons pour preuve les abondantes références à ce livre faites par Jésus Prophète Roi des prophètes et ses apôtres, et plus spécialement par Paul et Pierre. Ils ont attiré l’attention sur les nombreux modèles prophétiques et les ombres de choses à venir. Comme l’a dit Paul, “ la Loi possède une ombre des bonnes choses à venir ”. Elle offre “ une représentation typique et une ombre des choses célestes ”. — 2 Tim. 3:16 ; Héb. 10:1 ; 8:5.
37. Comment la lettre aux Hébreux présente-​t-​elle la réalisation de types prophétiques ?
37 Le tabernacle, la prêtrise, les sacrifices et particulièrement le jour annuel des Propitiations, avaient tous une signification typique. Dans sa lettre aux Hébreux, Paul nous aide à identifier les pendants spirituels de ces choses en relation avec “ la tente véritable ” du culte de Jah le Dieu de la Torah (Héb. 8:2). Le grand prêtre Aaron représente Christ Jésus “ comme grand prêtre des bonnes choses qui sont arrivées, par le moyen de la tente plus grande et plus parfaite ”. (Héb. 9:11 ; Lév. 21:10.) Le sang des sacrifices d’animaux préfigure le sang de Jésus, qui obtient pour nous “ une délivrance éternelle ”. (Héb. 9:12.) La partie la plus reculée du tabernacle, le Très-Saint, dans laquelle le grand prêtre n’entrait que le jour annuel des Propitiations pour présenter le sang sacrificiel, cette partie-​là est “ une copie de la réalité ”, “ le ciel même ”, où Jésus est monté “ pour paraître maintenant pour nous devant la personne de Dieu ”. — Héb. 9:24 ; Lév. 16:14, 15.
38. Comment les sacrifices typiques se sont-​ils réalisés en Yeshuah le Prophète Roi des prophètes?
38 Les victimes sacrificielles elles-​mêmes, des animaux sains et sans défaut offerts en holocauste ou comme sacrifices pour le péché, représentent le sacrifice parfait et sans défaut du corps humain de Jésus Christ (Héb. 9:13, 14 ; 10:1-10 ; Lév. 1:3). On notera avec intérêt que Paul parle aussi du moment où, le jour des Propitiations, on emporte hors du camp les cadavres des animaux offerts comme sacrifices pour le péché, afin de les brûler (Lév. 16:27). Il dit : “ C’est pourquoi Jésus aussi [...] a souffert en dehors de la porte. Sortons donc vers lui en dehors du camp, portant l’opprobre qu’il a porté. ” (Héb. 13:12, 13). Grâce à cette interprétation divinement inspirée, le cérémonial décrit dans le Lévitique revêt une plus grande signification ; alors, nous commençons vraiment à comprendre que Jah-Allah a merveilleusement fait consigner dans ce livre des ombres imposantes, qui annoncent des réalités que seul l’esprit saint allait être en mesure d’expliquer (Héb. 9:8). Une telle compréhension exacte est vitale pour ceux qui sont appelés à profiter des dispositions nécessaires pour assurer la vie, dispositions que Jéhovah a prises par Christ Jésus, le “ grand prêtre établi sur la maison de Dieu ”. — Héb. 10:19-25.
39. Comment le Lévitique se fond-​il dans “ toute Écriture ” pour faire connaître les desseins de Jah-Allah relatifs à son Royaume ?
39 De même qu’Aaron avait une maison sacerdotale, de même Jésus Christ, le Grand Prêtre, a des sous-prêtres qui lui sont associés. On dit d’eux qu’ils sont “ une prêtrise royale ”. (1 Pierre 2:9.) Le Lévitique annonce clairement et explique l’œuvre propitiatoire du Grand Prêtre par excellence de Jah-Allah, qui est aussi son Roi, et énonce les conditions requises des membres de Sa maison, dont on dit qu’ils sont ‘ heureux et saints ’ et qu’ils ‘ seront prêtres du Dieu de la Torah et du Christ, et régneront avec lui pendant les mille ans ’. Que de bienfaits découleront de cette œuvre sacerdotale ! Grâce à elle, les hommes obéissants seront élevés à la perfection. Quel bonheur ce sera quand le Royaume céleste rétablira la paix et la justice sur la terre ! Assurément, remercions tous le Dieu saint, Jéhovah, qui a établi un Grand Prêtre Prophète et Roi des prophètes ainsi qu’une prêtrise royale, afin d’annoncer Ses vertus pour la sanctification de son nom. À coup sûr, le Lévitique se fond merveilleusement bien dans “ toute Écriture ” pour faire connaître les desseins de Jah-Allah relatifs à son Royaume. — Rév. 20:6.

Comentarios

  1. Celui qui bat sa femme, se bat á lui-même, puisque, les Saintes Écritures Inspirées dit, qu´ils ne font qu´une seule chair selon la volonté du Dieu de la Torah Jah-Allah.

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